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Classement
1Nancy 7 3 2 1 0 4 0 4
2Créteil-Lusitanos 7 3 2 1 0 4 2 2
3Le Havre 6 3 2 0 1 4 4 0
4Paris FC 5 3 1 2 0 4 1 3
5Clermont Foot 5 3 1 2 0 3 2 1
6Dijon 4 3 1 1 1 4 2 2
7Metz 4 2 1 1 0 1 0 1
8Valenciennes 4 2 1 1 0 1 0 1
9Laval 4 3 1 1 1 4 4 0
10Brest 4 3 1 1 1 2 3 -1
11Evian-TG 3 3 0 3 0 3 3 0
12Lens 3 3 0 3 0 2 2 0
13Tours FC 3 3 0 3 0 1 1 0
14Bourg-en-Bresse 3 3 1 0 2 4 6 -2
15Red Star 2 3 0 2 1 2 3 -1
16Auxerre 2 3 0 2 1 2 3 -1
17Sochaux 2 3 0 2 1 1 2 -1
18AC Ajaccio 2 3 0 2 1 1 2 -1
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20Nimes -7 3 0 1 2 0 3 -3
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Formule 1.
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Formule 1.
Formule 1, GP de Grande-Bretagne, Qualifications
Kovalainen était intouchable
Heikki Kovalainen signe sa première pole à Silverstone (Reuters)
Largement au dessus du lot, Heikki Kovalainen a signé à Silverstone la première pole position de sa carrière. Mark Webber complète une première ligne 100% inédite. par Gilles Festor, le 05-07-2008
Heikki Kovalainen aura dû attendre son neuvième grand prix au volant d’une Flèche d’Argent pour décrocher la première pole position de sa carrière. Et quelle pole ! Pilote le plus régulier depuis le début du week-end, le Finlandais a survolé la séance de qualification en signant un chrono ébouriffant en toute fin de séance en 1’21’’059. Ce qui correspond à une vitesse moyenne de 228,351 km/h. Meilleur temps dans la Q1, deuxième derrière Lewis Hamilton dans la Q2, l’ancien pilote Renault mérite amplement sa première place sur la grille. Mark Webber, étonnant deuxième au volant de la Red Bull et décidément de plus en plus à l’aise dans l’exercice des qualifications, accuse plus d’une demi seconde de retard (+0’’505).
Bon tir groupé de Renault
Kimi Räikkönen n’a rien pu faire non plus et devra se contenter de la deuxième ligne aux côtés de Lewis Hamilton. Le Britannique, que 120 000 spectateurs attendaient, accuse un débours de 0’’786 sur le temps de référence. Visiblement sous pression, Hamilton a fait un écart sur l’herbe en début de Q3. Mais des candidats à la couronne mondiale, il n’est pas le plus malheureux. Felipe Massa, complètement hors du coup, n’est qu’en 9e position. Le Brésilien a peut-être préparé sa monoplace pour une course pluvieuse dimanche. Ce qui expliquerait sa contre-performance car un gouffre de 2’’256 le sépare de Kovalainen ! Et que dire du pauvre Robert Kubica, victime d’un ennui mécanique, qui n’a même pas pu sortir le bout du nez de sa BMW dans la Q3. Du côté de Renault, les nouvelles étaient plutôt réjouissantes avec un bon tir groupé de Fernando Alonso (6e) et Nelson Piquet Jr dans son sillage (7e). Depuis le Grand Prix de France où le Brésilien avait doublé en toute fin de course son leader d’écurie, les deux Renault boys ne se quittent plus.
Meilleure perf’ pour Bourdais
Pour sa dernière séance de qualification à Silverstone, David Coulthard était bien loin de son coéquipier Mark Webber. Onzième, l’Ecossais partira légèrement devant Sébastien Bourdais (13e). Le Français réalise la meilleure performance de sa carrière en F1. Un résultat plus qu’honorable pour le Tricolore qui a réalisé une prouesse en Q1 en améliorant son temps sur une piste légèrement mouillée, qui le propulsant à la sixième place. En toute fin de grille, Williams et Honda broient du noir. Nico Rosberg, victime de problèmes de suspension, échoue au 18e rang. Rubbens Barrichello (16e) et Jenson Button (17e), l’ancien chouchou du public, ont plié bagages dès la première phase. Piégés par l’averse qui est tombée en début de séance, les deux hommes ne sont pas parvenus à améliorer leurs chronos.
La grille de départ du Grand Prix de Grande-Bretagne :
1. Kovalainen (Fin, McLaren) 1’19’’949
2. Webber (Aus, Red Bull) +0’’505
3. Räikkönen (Fin, Ferrari) +0’’657
4. Hamilton (Ang, McLaren) +0’’786
5. Heidfeld (All, BMW-Sauber) +0’’824
6. Alonso (Esp, Renault) +0’’980
7. Piquet Jr. (Bre, Renault) + 1’’442
8. Vettel (All, Toro Rosso) +2’’202
9. Massa (Bre, Ferrari) +2’’256
10. Kubica (Pol, BMW)
11. Coulthard (Eco, Red Bull)
12. Glock (All, Toyota)
13. Bourdais (Fra, Toro Rosso)
14. Trulli (Ita, Toyota)
15. Nakajima (Jap, Williams)
16. Barrichello (Bre, Honda)
17. Rosberg (All, Williams)
18. Button (G-B, Honda)
19. Sutil (All, Force India)
20. Fisichella (Ita, Force India)
Espérons que Renault arrive à marquer quelques points !
Re: Formule 1.
La grille de départ du GP d'Allemagne...
Je ne sais pas pourquoi mais il m'est avais que cela va encore être la soupe à la grimace chez Renault !
1 | Lewis Hamilton (GBR) | McLaren | 1:15.666 | 13 | |
2 | Felipe Massa (BRA) | Ferrari | 1:15.859 | 16 | |
3 | Heikki Kovalainen (FIN) | McLaren | 1:16.143 | 17 | |
4 | Jarno Trulli (ITA) | Toyota | 1:16.191 | 21 | |
5 | Fernando Alonso (ESP) | Renault | 1:16.385 | 19 | |
6 | Kimi Räikkönen (FIN) | Ferrari | 1:16.389 | 19 | |
7 | Robert Kubica (POL) | BMW | 1:16.521 | 20 | |
8 | Mark Webber (AUS) | Red Bull | 1:17.014 | 20 | |
9 | Sebastian Vettel (GER) | Toro Rosso | 1:17.244 | 22 | |
10 | David Coulthard (GBR) | Red Bull | 1:17.503 | 20 | |
11 | Timo Glock (GER) | Toyota | 1:15.508 | 17 | |
12 | Nick Heidfeld (GER) | BMW | 1:15.581 | 14 | |
13 | Nico Rosberg (GER) | Williams | 1:15.633 | 16 | |
14 | Jenson Button (GBR) | Honda | 1:15.701 | 15 | |
15 | Sébastien Bourdais (FRA) | Toro Rosso | 1:15.858 | 15 | |
16 | Kazuki Nakajima (JPN) | Williams | 1:16.083 | 10 | |
17 | Nelson Piquet (BRA) | Renault | 1:16.189 | 7 | |
18 | Rubens Barrichello (BRA) | Honda | 1:16.246 | 10 | |
19 | Adrian Sutil (GER) | Force India | 1:16.657 | 10 | |
20 | Giancarlo Fisichella (ITA) | Force India | 1:16.963 | 10 |
Je ne sais pas pourquoi mais il m'est avais que cela va encore être la soupe à la grimace chez Renault !
Re: Formule 1.
Hamilton en impose
Auteur samedi sur le Hungaroring de sa quatrième pole de la saison, Lewis Hamilton s'est posé en grand favori du Grand Prix de Hongrie. Avec le deuxième temps de son coéquipier Heikki Kovalainen, les McLaren-Mercedes monopoliseront la première ligne de la grille de départ. Felipe Massa signe le troisième temps. Kimi Räikkönen, lui, doit se contenter du sixième chrono.
Deuxième pole de rang pour Hamilton (Reuters). Deuxième pole de rang pour Hamilton (Reuters).
L'indiscutable patron. Depuis sa victoire à Silverstone il y a un mois, Lewis Hamilton ne laisse pas beaucoup de chances à ses adversaires. L'homme fort de l'été 2008, c'est lui. Meilleur temps de la journée de vendredi, meilleur temps de la troisième séance libre samedi matin et pole position: le pilote anglais démontre une assurance certaine depuis le début du week-end hongrois. Sur le tortueux tracé du Hungaroring, il a ainsi réalisé la pole dans son tout dernier tour. Lorsqu'il coupe la ligne d'arrivée et que son chrono s'affiche (1'20"899), les applaudissements fusent dans le stand des Gris-Argent.
Partir en pole est un atout important sur un circuit comme le Hungaroring, où les dépassements s'avèrent difficiles. Hamilton se trouve donc en position idéale pour s'imposer pour la troisième d'affilée, après Silverstone et Hockenheim. Lors de la Q1, la première phase des qualifications, il signe un chrono de 1'19"376 dès son premier tour lancé. En Q2, il se contente d'un temps à 4/10e de Felipe Massa. Avec un tour en 1'19"068, le Brésilien a bien réalisé le meilleur chrono du week-end. Mais sa Ferrari était à vide. Lors de la Q3 (disputée avec l'essence du premier relais), Hamilton commence par tourner en 1'20"974 pour ensuite faire mieux à la dernière minute. Mais même s'il n'avait pas amélioré, il aurait quand même décroché la pole.
Le mauvais côté de la piste
S'il a signé le deuxième temps (1'21"140), Heikki Kovalainen est peut-être dans une situation moins enviable qu'il n'y paraît. Traditionnellement, le côté gauche de la piste du Hungaroring est plus propre que le droit, car balayé par les passages successifs des monoplaces. A l'issue des qualifications, le deuxième, le quatrième, le sixième... se retrouvent sur la partie la plus sale du circuit, avec moins d'adhérence. Ceux qui sont du bon côté prennent généralement un bien meilleur départ.
Et c'est justement là que se situent les meilleures chances de Ferrari. Grâce à son chrono de 1'21"191, Felipe Massa est troisième sur la grille, ce qui lui offre la possibilité de s'intercaler entre les deux McLaren à l'extinction des feux. Cependant, la compétitivité réelle des F2008 en course, sur des longs relais, est à évaluer. La Scuderia ne paraît à son aise, comme en témoigne le sixième temps (1'21"516) de Kimi Räikkönen. Reste aussi l'inconnue de la quantité de carburant embarquée par chacun. Hamilton peut très bien suivre la même stratégie qu'en Allemagne: un peu moins d'essence que ses rivaux, ce qui lui permet d'être en pole puis de s'échapper en tête en début de course.
Heidfeld au fond, Glock en forme
Auteur du quatrième chrono (1'21"281), Robert Kubica sauve les meubles pour une équipe BMW qui continue de marquer le pas. Son équipier Nick Heidfeld n'a même pas franchi le cap de la Q1. Alors qu'il était en train de réaliser son meilleur tour, il a été gêné par le trafic. S'il a manifesté son mécontentement d'un geste de la main, le mal était fait: il sera seizième sur la grille. Timo Glock, lui, est cinquième (1'21"326): une belle performance qui démontre que son crash violent du Grand Prix d'Allemagne n'a pas eu de conséquences. Avec le neuvième temps de Jarno Trulli (1'21"767), Toyota affiche de belles dispositions.
Chez Renault également, la situation se présente plutôt bien: les deux pilotes sont allés en Q3. Fernando Alonso est septième (1'21"698), Nelson Piquet dixième (1'22"371). Sébastien Bourdais, lui, est quatorzième. Peu à l'aise avec les pneus tendres, il a préféré revenir aux gommes dures en toute fin de Q2. Il a pu améliorer son chrono, mais pas assez pour aller en Q3...
Auteur samedi sur le Hungaroring de sa quatrième pole de la saison, Lewis Hamilton s'est posé en grand favori du Grand Prix de Hongrie. Avec le deuxième temps de son coéquipier Heikki Kovalainen, les McLaren-Mercedes monopoliseront la première ligne de la grille de départ. Felipe Massa signe le troisième temps. Kimi Räikkönen, lui, doit se contenter du sixième chrono.
Deuxième pole de rang pour Hamilton (Reuters). Deuxième pole de rang pour Hamilton (Reuters).
L'indiscutable patron. Depuis sa victoire à Silverstone il y a un mois, Lewis Hamilton ne laisse pas beaucoup de chances à ses adversaires. L'homme fort de l'été 2008, c'est lui. Meilleur temps de la journée de vendredi, meilleur temps de la troisième séance libre samedi matin et pole position: le pilote anglais démontre une assurance certaine depuis le début du week-end hongrois. Sur le tortueux tracé du Hungaroring, il a ainsi réalisé la pole dans son tout dernier tour. Lorsqu'il coupe la ligne d'arrivée et que son chrono s'affiche (1'20"899), les applaudissements fusent dans le stand des Gris-Argent.
Partir en pole est un atout important sur un circuit comme le Hungaroring, où les dépassements s'avèrent difficiles. Hamilton se trouve donc en position idéale pour s'imposer pour la troisième d'affilée, après Silverstone et Hockenheim. Lors de la Q1, la première phase des qualifications, il signe un chrono de 1'19"376 dès son premier tour lancé. En Q2, il se contente d'un temps à 4/10e de Felipe Massa. Avec un tour en 1'19"068, le Brésilien a bien réalisé le meilleur chrono du week-end. Mais sa Ferrari était à vide. Lors de la Q3 (disputée avec l'essence du premier relais), Hamilton commence par tourner en 1'20"974 pour ensuite faire mieux à la dernière minute. Mais même s'il n'avait pas amélioré, il aurait quand même décroché la pole.
Le mauvais côté de la piste
S'il a signé le deuxième temps (1'21"140), Heikki Kovalainen est peut-être dans une situation moins enviable qu'il n'y paraît. Traditionnellement, le côté gauche de la piste du Hungaroring est plus propre que le droit, car balayé par les passages successifs des monoplaces. A l'issue des qualifications, le deuxième, le quatrième, le sixième... se retrouvent sur la partie la plus sale du circuit, avec moins d'adhérence. Ceux qui sont du bon côté prennent généralement un bien meilleur départ.
Et c'est justement là que se situent les meilleures chances de Ferrari. Grâce à son chrono de 1'21"191, Felipe Massa est troisième sur la grille, ce qui lui offre la possibilité de s'intercaler entre les deux McLaren à l'extinction des feux. Cependant, la compétitivité réelle des F2008 en course, sur des longs relais, est à évaluer. La Scuderia ne paraît à son aise, comme en témoigne le sixième temps (1'21"516) de Kimi Räikkönen. Reste aussi l'inconnue de la quantité de carburant embarquée par chacun. Hamilton peut très bien suivre la même stratégie qu'en Allemagne: un peu moins d'essence que ses rivaux, ce qui lui permet d'être en pole puis de s'échapper en tête en début de course.
Heidfeld au fond, Glock en forme
Auteur du quatrième chrono (1'21"281), Robert Kubica sauve les meubles pour une équipe BMW qui continue de marquer le pas. Son équipier Nick Heidfeld n'a même pas franchi le cap de la Q1. Alors qu'il était en train de réaliser son meilleur tour, il a été gêné par le trafic. S'il a manifesté son mécontentement d'un geste de la main, le mal était fait: il sera seizième sur la grille. Timo Glock, lui, est cinquième (1'21"326): une belle performance qui démontre que son crash violent du Grand Prix d'Allemagne n'a pas eu de conséquences. Avec le neuvième temps de Jarno Trulli (1'21"767), Toyota affiche de belles dispositions.
Chez Renault également, la situation se présente plutôt bien: les deux pilotes sont allés en Q3. Fernando Alonso est septième (1'21"698), Nelson Piquet dixième (1'22"371). Sébastien Bourdais, lui, est quatorzième. Peu à l'aise avec les pneus tendres, il a préféré revenir aux gommes dures en toute fin de Q2. Il a pu améliorer son chrono, mais pas assez pour aller en Q3...
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Re: Formule 1.
Alonso a trouvé le truc
Après avoir remporté une victoire surprise lors du Grand Prix de Singapour, Fernando Alonso (Renault) récidive à l'occasion du Grand Prix du Japon. Le pilote espagnol devance Robert Kubica (BMW Sauber) et Kimi Räikkönen (Ferrari). La Lutte pour le championnat du monde des pilotes n'a pas avancé, ou presque.
Au championnat du monde, Felipe Massa (Ferrari) reprend deux points au leader Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes). Les deux hommes se sont accrochés dans le deuxième tour et Hamilton est parti en tête à queue. Il a terminé hors des points. Massa a de son côté sauvé deux points à l'issue d'une course mouvementée. Le Brésilien a bénéficié de la pénalité de 25 secondes infligée après la course à Sébastien Bourdais. Le Français de Toro Rosso, initialement classé sixième, a été pénalisé pour s'être accrochéavec Massa. Il a chuté à la 10e place !
Bourdais s'est accroché avec Massa alors qu'il ressortait des stands. Massa était parti en tête à queue mais il avait pu ensuite poursuivre sa route pour finir huitième. En gagnant un rang, il se rapproche à cinq points du leader du championnat. Hamilton peut néanmoins être titré dès la prochaine course en Chine s'il marque six points de plus que le Brésilien.
Les deux hommes restent sous la menace de Robert Kubica, qui avec son bon résultat au pied du Mont-Fuji, est revenu à 12 points de Hamilton, à sept points de Massa. En revanche, Kimi Räikkönen ne conservera pas son titre, c'est une certitude : le Finlandais compte 21 longueurs de retard sur le Britannique alors qu'il ne reste au mieux que 20 points à prendre.
Derrière Fernando Alonso, Kubica et Kimi Räikkönen, Nelsinho Piquet a encore embelli le succès de Renault en prenant la quatrième place devant Jarno Trulli (Toyota), qui a sauvé les meubles devant le public japonais, cinquième.
Après avoir remporté une victoire surprise lors du Grand Prix de Singapour, Fernando Alonso (Renault) récidive à l'occasion du Grand Prix du Japon. Le pilote espagnol devance Robert Kubica (BMW Sauber) et Kimi Räikkönen (Ferrari). La Lutte pour le championnat du monde des pilotes n'a pas avancé, ou presque.
Au championnat du monde, Felipe Massa (Ferrari) reprend deux points au leader Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes). Les deux hommes se sont accrochés dans le deuxième tour et Hamilton est parti en tête à queue. Il a terminé hors des points. Massa a de son côté sauvé deux points à l'issue d'une course mouvementée. Le Brésilien a bénéficié de la pénalité de 25 secondes infligée après la course à Sébastien Bourdais. Le Français de Toro Rosso, initialement classé sixième, a été pénalisé pour s'être accrochéavec Massa. Il a chuté à la 10e place !
Bourdais s'est accroché avec Massa alors qu'il ressortait des stands. Massa était parti en tête à queue mais il avait pu ensuite poursuivre sa route pour finir huitième. En gagnant un rang, il se rapproche à cinq points du leader du championnat. Hamilton peut néanmoins être titré dès la prochaine course en Chine s'il marque six points de plus que le Brésilien.
Les deux hommes restent sous la menace de Robert Kubica, qui avec son bon résultat au pied du Mont-Fuji, est revenu à 12 points de Hamilton, à sept points de Massa. En revanche, Kimi Räikkönen ne conservera pas son titre, c'est une certitude : le Finlandais compte 21 longueurs de retard sur le Britannique alors qu'il ne reste au mieux que 20 points à prendre.
Derrière Fernando Alonso, Kubica et Kimi Räikkönen, Nelsinho Piquet a encore embelli le succès de Renault en prenant la quatrième place devant Jarno Trulli (Toyota), qui a sauvé les meubles devant le public japonais, cinquième.
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Re: Formule 1.
Classement pilotes
1) Lewis Hamilton 84
2) Felipa Massa 79
3) Robert Kubica 72
4) Kimi Raikkonen 63
5) Nick Heidfeld 57
6) Heikki Kovalainen 51
7) Fernando Alonso 48
8) Sebastian Vettel 30
9) Jarno Trulli 30
10) Timo Glock 20
1) Lewis Hamilton 84
2) Felipa Massa 79
3) Robert Kubica 72
4) Kimi Raikkonen 63
5) Nick Heidfeld 57
6) Heikki Kovalainen 51
7) Fernando Alonso 48
8) Sebastian Vettel 30
9) Jarno Trulli 30
10) Timo Glock 20
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Re: Formule 1.
Classement constructeurs
1) Ferrari 142
2) McLaren 135
3) BMW 128
4) Renault 66
5) Toyota 50
6) Toro Rosso 34
7) Red Bull 29
8) Williams 26
9) Honda 14
1) Ferrari 142
2) McLaren 135
3) BMW 128
4) Renault 66
5) Toyota 50
6) Toro Rosso 34
7) Red Bull 29
8) Williams 26
9) Honda 14
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Re: Formule 1.
Bourdais pénalisé
La poisse s'attache aux basques de Sébastien Bourdais. Le Français de Toro Rosso, initialement classé sixième, a été pénalisé de 25 secondes pour s'être accroché avec le Brésilien Felipe Massa (Ferrari). Il chute par conséquent à la 10e place du Grand Prix du Japon !
Bourdais s'est accroché avec Massa alors qu'il ressortait des stands. Massa est parti en tête à queue mais pu ensuite poursuivre sa route pour finir huitième. Le Brésilien gagne un rang et prend la septième place de la course. Il se rapproche ainsi à cinq points du leader du championnat Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes).
La poisse s'attache aux basques de Sébastien Bourdais. Le Français de Toro Rosso, initialement classé sixième, a été pénalisé de 25 secondes pour s'être accroché avec le Brésilien Felipe Massa (Ferrari). Il chute par conséquent à la 10e place du Grand Prix du Japon !
Bourdais s'est accroché avec Massa alors qu'il ressortait des stands. Massa est parti en tête à queue mais pu ensuite poursuivre sa route pour finir huitième. Le Brésilien gagne un rang et prend la septième place de la course. Il se rapproche ainsi à cinq points du leader du championnat Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes).
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Re: Formule 1.
Le camouflet de la formule 1 ?
Je n'ai pas regardé beaucoup de grand prix cette saison, certainement à cause du manque d'intérêt pendant les courses, maintenant la Formule 1 se résume à une bataille de stratégie dans les stands et plus du tout sur la piste, fini les périodes ou Prost et Senna tentaient le tout pour le tout pour l'emporter...
Mais hier j'étais devant mon téléviseur, parce que bizarement j'y trouvais un tant soit peu d'intérêt, Massa pouvait tenir tête à Hamilton et la course promettait dêtre palpitante et je ne m'était pas trompé, le dernier tour était au dela de toute mes espérances, Massa qui échoue à un point du titre parce qu'Hamilton va terminer en cinquième position, mais que vois-je un Sébastien Vettel qui n'a que faire de ce genre de considération et qui se rue à l'assaut d'Hamilton et qui fini par le mettre dans le vent, adieu le titre pour Hamilton et Massa peut se réjouir d'avoir fait le maximum pour obtenir ce titre, tout simplement grandiose (vous aurez biens sur compris que mon favoris était Massa)...
Et là la tournure des événements ne peut que m'obliger à courir aux chiottes pour me soulager d'un trop plein qui est arrivé en l'espace de deux secondes, à gerber au plus profond de moi même, T.Glock qui était largement devant Halmilton se retrouve soudain derrière et c'est Hamilton qui est sacré champion du monde, vraiment une fin de grand prix à chier qui à mon avis discrédite totalement la Formule 1, c'est fini pour moi, plus jamais je ne regarderais un grand prix avec le même regard...
Une honte pour ce sport qui est devenu une usine à fric et qui ne véhicule plus rien de bien, bref ces encul*** de dirigeant on vraiment tout gaché...
Merci aux amateurs de ce sport de m'affirmer ou de m'infirmer le fond de ma pensée, parce que mon penchant pour Massa m'a peut être fait voir des choses que personnes d'autres n'a remarqués, mais un gros doute subsiste (en sachant en plus que T.Glock est ami avec Hamilton)...
Voila mon grand coup de gueule pour ce soir, désolé pour les expressions un peu trash, mais il fallait que cela sorte !
Le miracle Hamilton
Lewis Hamilton sacré pour un petit point devant Felipe Massa (Panoramic)
A l’image de cet incroyable retournement de situation en toute fin de grand prix au Brésil, le titre mondial décroché par Lewis Hamilton s’est joué sur quelques minuscules détails. par Gilles Festor, le 02-11-2008
Dimanche, Felipe Massa s’est cru champion du monde… l’espace d’une poignée de secondes après avoir franchi victorieusement la ligne d’arrivée. Quelques instants magiques durant lesquels tout le stand Ferrari a explosé de joie en constatant que Lewis Hamilton restait coincé dans les roues de Sebastian Vettel à l’amorce de l’ultime ligne droite de la course. A ce moment là, Massa et l’Anglais (6e) étaient à égalité de points au championnat. Mais avec six victoires contre cinq, le Brésilien décrochait le titre mondial.
Glock lui offre le titre sur un plateau
Et puis est arrivé ce coup de massue : la vision sur les écrans télé de la Toyota de Timo Glock à l’entrée de la ligne droite des stands, complètement à la traîne, se faisant déposer par la Toro Rosso et la McLaren. A quelques centaines de mètres seulement de l’arrivée, Lewis Hamilton récupérait la 5e place et avec elle la couronne que tout le monde croyait dévolue au Brésilien. Comment était-ce possible ? L’Allemand, en pneus secs, a lâché six secondes dans le dernier partiel, soit le plus mauvais temps des 18 pilotes encore en piste. «C’était tout simplement impossible dans le dernier tour. Je me battais autant que possible mais c’était très difficile de garder la voiture sur la piste et j’ai perdu des places à la toute fin du tour», tentait d’expliquerle pilote lu team nippon.
«Je ne trouve pas les mots»
Sonné par ce final exceptionnel qui a même trompé un temps la vigilance des commentateurs, Lewis Hamilton n’était lui-même pas certain d’être champion du monde à l’issue de la course. Il raconte : «J’ai crié : est-ce que je l’ai ? Est-ce que je l’ai ? J’ai eu la confirmation dans le premier virage. J’ai explosé de joie. C’était comme dans un rêve», puis se confie : «C’est quasiment impossible de trouver les mots. Je suis sans voix. Toute ma famille est ici, mon père est ici. Ce fut une si longue journée où j’ai été énormément soutenu. Mon équipe a fait un boulot fantastique tout au long d’une saison où nous avons fait beaucoup de sacrifices. Je suis très heureux d’avoir pu réaliser cela pour eux.»
Sacré mais moins performant qu’en 2007 ?
Un coup de dés. Voilà à quoi s’est jouée l’issue d’une saison durant laquelle Hamilton est apparu moins régulier et parfois moins éclatant que l’an passé où il avait récolté dix points de plus (109 contre 99). Bien sûr, il fut souvent exceptionnel en qualifications (9 poles position) et en course (5 victoires). Mais son comportement parfois à la limite, comme au Japon où il fut sanctionné pour avoir tassé Kimi Räikkönen , et une grossière erreur au Canada lorsqu’il alla s’empaler sur la Ferrari du Finlandais à la sortie des stands, resteront comme les gros points noirs de son championnat. Et fait paradoxal, Hamilton a été sacré alors qu’il a signé une victoire de moins que Massa ! «Si Massa perd le championnat, il saura qu’il le doit à son écurie», avait lâché un brin moqueur Bernie Ecclestone, par ailleurs fervent supporter d’Hamilton, après le Grand Prix de Singapour. Le Brésilien pourra effectivement longtemps regretter la fiabilité approximative de sa Ferrari cette année et surtout ce maudit Grand Prix de Hongrie où, la course dans la poche, son V8 lui a lâché entre les mains à trois tours de l’arrivée. Sans cette mésaventure, Massa n’aurait pas signé, dimanche, la victoire la plus amère de sa carrière.
Je n'ai pas regardé beaucoup de grand prix cette saison, certainement à cause du manque d'intérêt pendant les courses, maintenant la Formule 1 se résume à une bataille de stratégie dans les stands et plus du tout sur la piste, fini les périodes ou Prost et Senna tentaient le tout pour le tout pour l'emporter...
Mais hier j'étais devant mon téléviseur, parce que bizarement j'y trouvais un tant soit peu d'intérêt, Massa pouvait tenir tête à Hamilton et la course promettait dêtre palpitante et je ne m'était pas trompé, le dernier tour était au dela de toute mes espérances, Massa qui échoue à un point du titre parce qu'Hamilton va terminer en cinquième position, mais que vois-je un Sébastien Vettel qui n'a que faire de ce genre de considération et qui se rue à l'assaut d'Hamilton et qui fini par le mettre dans le vent, adieu le titre pour Hamilton et Massa peut se réjouir d'avoir fait le maximum pour obtenir ce titre, tout simplement grandiose (vous aurez biens sur compris que mon favoris était Massa)...
Et là la tournure des événements ne peut que m'obliger à courir aux chiottes pour me soulager d'un trop plein qui est arrivé en l'espace de deux secondes, à gerber au plus profond de moi même, T.Glock qui était largement devant Halmilton se retrouve soudain derrière et c'est Hamilton qui est sacré champion du monde, vraiment une fin de grand prix à chier qui à mon avis discrédite totalement la Formule 1, c'est fini pour moi, plus jamais je ne regarderais un grand prix avec le même regard...
Une honte pour ce sport qui est devenu une usine à fric et qui ne véhicule plus rien de bien, bref ces encul*** de dirigeant on vraiment tout gaché...
Merci aux amateurs de ce sport de m'affirmer ou de m'infirmer le fond de ma pensée, parce que mon penchant pour Massa m'a peut être fait voir des choses que personnes d'autres n'a remarqués, mais un gros doute subsiste (en sachant en plus que T.Glock est ami avec Hamilton)...
Voila mon grand coup de gueule pour ce soir, désolé pour les expressions un peu trash, mais il fallait que cela sorte !
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