Re: Ligue des Champions 2008/2009 !

[Arsenalboy]

C'est un fabricant de bagages !...



Et c'est pas drôle Arsenal !

Je n'ai pas précisé de quel coté !

























Merde c'est vrai que l'on tourne à la mi-temps !

[Arsenalboy]

Lyon peut se qualifier à Florence (Panoramic)

Attention gros danger

Après le triste spectacle offert à Paris samedi, Lyon a des choses à se faire pardonner à Florence en Ligue des Champions. Un nul suffit pour accéder aux 8es de finale mais gare à ces diables d’Italiens, invaincus à domicile. par Vincent Duchesne, le 24-11-2008

Les échos de la rencontre :
Un point. Voilà ce dont a besoin Lyon mardi en Italie pour valider un 6e ticket consécutif pour les 8es de finale de la Ligue des Champions. Avec 5 points d’avance sur la Fiorentina à deux journées de la fin, le septuple champion de France peut se contenter du match nul. Il y a quelques semaines, cela aurait pu s’apparenter à une simple formalité. Ça ne l’est plus du tout aujourd’hui. Car l’OL est pour le moins inquiétant ces derniers temps. Depuis le succès ébouriffant à Bucarest (3-5), la bande à Claude Puel aligne les prestations soit irrégulières dans leur contenu, soit carrément indigestes. Entre une attaque beaucoup trop dépendante du rendement de Karim Benzema, une défense qui se cherche des automatismes et une infirmerie qui ne cesse de se remplir, Lyon accumule les tares malgré son statut de leader incontesté en Ligue 1. Samedi, les Rhodaniens ont chuté au Parc des Princes sans qu’il y ait quoi que ce soit à redire. Avaient-ils déjà la tête à Florence ? Peut-être. Bien plus que la défaite, c’est la blessure d’Anthony Réveillère qui jette un froid. Quelle défense sera alignée contre la Fiorentina ?
Sachant que Fabio Grosso revient tout juste d’une blessure au péroné, que François Clerc en a encore pour un bon moment et que Thimothée Kolodzieczak (17 ans) est bien trop tendre. Il n’est pas impossible de voir John Mensah ou encore Kim Källström effectuer une nouvelle pige sur le flanc gauche de la défense. Autant de victimes potentielles du duo Gilardino-Mutu, LA menace numéro 1 côté italien. A eux deux, ils ont inscrit 13 des 19 buts de la Viola en Serie A ! Samedi, le Roumain a d’ailleurs sonné la révolte après une première période catastrophique face à l’Udinese en égalisant au retour des vestiaires sur penalty avant d’offrir deux passes décisives (4-2). Ces quatre buts inscrits en seulement 45 minutes face à l’une des équipes en forme du moment en Italie suffisent à comprendre tout le danger que représente la Fiorentina. C’est simple, les partenaires de Sébastien Frey sont invaincus, toutes compétitions confondues, au Stade Artemio Franchi. Et quand on sait que la Viola est dos au mur, avec l’obligation de s’imposer pour avoir une chance de disputer les 8es de finale de la Ligue des Champions, cela promet un match ouvert…
Composition des groupes :
Fiorentina :
Non communiquée
Lyon :
Lloris, Vercoutre - Grosso, Boumsong, Cris, Faure, Kolo, Mensah Gassama - Toulalan, Källström, Makoun, Juninho - Govou, Ederson, Keita, Mounier, Benzema, Fred, Piquionne.
Ils ont dit :
Pour Hugo Lloris, Lyon se déplace en Italie avec un esprit conquérant : «Il y a quelque chose à faire là-bas. Les Italiens sont dos au mur et ce sera à eux de faire le jeu. On est dans une belle situation. A nous de bien jouer les coups à fond et de montrer le vrai visage de Lyon. Il faudra être très solides et se projeter très vite vers l’avant, se créer des occasions et essayer d’être le plus efficace possible. On a les armes pour gagner là-bas. Ils ont une belle équipe il faudra s’en méfier. On sait les Italiens très malins. A nous de rester bien concentrés et de faire ce qu’il faut, être très réalistes, défensivement comme offensivement».
Historique des confrontations :
Lyon et la Fiorentina ne se sont affrontés qu’à une seule reprise sur la scène internationale. C’était lors du match aller à Gerland où les deux équipes s’étaient séparées sur un score de parité (2-2). Rappelons que la Fiorentina menait 2-0 à 20 minutes de la fin.
Leurs cinq derniers matches :
Fiorentina - Udinese 4-2 (Serie A, 13e j)
Cagliari - Fiorentina 1-0 (Serie A, 12e j)
Fiorentina - Atalanta 2-1 (Serie A, 11e j)
Fiorentina - Bayern Munich 1-1 (LdC, 4e j)
Sienne - Fiorentina 1-1 (Serie A, 10e j)
Paris SG - Lyon 1-0 (Ligue 1, 15e j)
Lyon - Bordeaux 2-1 (Ligue 1, 14e j)
Lyon - Metz 1-3 (CdL, 8es)
Monaco - Lyon 0-1 (Ligue 1, 13e j)
Lyon - Steaua 2-0 (LdC, 4e j)
Programme de la cinquième journée :
Groupe F :
Fiorentina - Lyon
Bayern - Steaua

[Arsenalboy]

Belle victoire Lyonnaise hier et surtout match trés agréable à regarder, avec trois transversales pour Lyon et deux poteaux pour la Fiorentina...

Et surtout un Karim Benzema qui est vraiment l'attaquant en forme et qui est vraiment trés impressionnant !

[Arsenalboy]

L’art et la manière



Karim Benzema a été éblouissant mardi à Florence (Panoramic)

Pour la 6e année consécutive, Lyon s’est qualifié pour les 8es de finale de la Ligue des Champions. Avec brio et panache à Florence. Seuls le Real Madrid et Arsenal ont fait de même depuis 2003. par Vincent Duchesne, le 26-11-2008

L’OL n’est peut être pas aussi souverain que les années précédentes en Ligue 1. Il n’est peut être pas aussi flamboyant qu’à l’époque des Michaël Essien, Mahamadou Diarra et autre Tiago… Mais Lyon répond toujours présent sur la scène européenne. Le club rhodanien reste une valeur sûre sur le Vieux Continent, une équipe sur qui l’on peut compter pour rêver un peu lorsque le printemps pointe le bout de son nez. Alors c’est vrai, les critiques ont fusé ces derniers temps. Avouons-le ouvertement : depuis le début de la saison, ce Lyon-là était frustrant malgré des résultats toujours aussi brillants. Quoi qu’en disent les plus farouches partisans du club de Jean-Michel Aulas. Mais l’odeur des grands rendez-vous, le parfum envoutant de la Ligue des Champions redonnent à Lyon toute sa splendeur.
«Notre match le plus accompli»
Berceau de la Renaissance en Italie, Florence a été le théâtre mardi soir d’une véritable métamorphose. Une résurrection dont on peinait à croire qu’elle fasse son apparition au sortir d’une prestation à Paris indigne de son statut de septuple champion de France. En Italie, Lyon a sorti ses plus beaux pinceaux pour dessiner les contours d’une victoire éclatante et d’un avenir doré en Ligue des Champions. «Je pense que c’est notre match le plus accompli, notamment à l’extérieur. On a su rester structuré et performant face à un adversaire très dangereux», analysait Claude Puel après la rencontre. Difficile de contredire l’entraîneur lyonnais. L’OL a répondu présent dans tous les domaines durant une rencontre un peu folle, marquée par cinq poteaux ou transversales, des occasions à foisons, du football offensif à outrance et un spectacle digne des plus belles œuvres d’art de la Toscane.
Que ce soit défensivement malgré une véritable hécatombe (Bodmer, Clerc, Réveillère, Gassama) - face à ces diables de Florentins, aux mouvements incessants et à la qualité technique bien au-dessus de la moyenne, la performance est de tout premier ordre - que ce soit en termes d’engagement et d’agressivité dans le bon sens du terme, sur le plan offensif avec un réalisme toujours aussi ébouriffant et un Karim Benzema éblouissant, auteur d’une passe décisive judicieuse pour Makoun et d’un but (son 11e dans la compétition), qui rappelle étrangement celui de Glasgow la saison dernière. «On a démontré que l’Olympique Lyonnais est une grande équipe, soulignait l’international français dans les coursives du Stade Artemio Franchi. C’était un contexte difficile avec les supporteurs derrière eux, une bonne équipe de la Fiorentina qui nous est rentrée dedans. On a su résister à l’impact physique de cette équipe. On est qualifiés et vraiment contents».
Aller chercher la première place
En février prochain, pour la sixième année consécutive, l’OL sera au rendez-vous des 8es de finale de la Ligue des Champions. Une formidable régularité loin d’être anodine et ordinaire. Depuis 2003, seules trois équipes ont réussi une telle prouesse : Lyon donc, le Real Madrid et Arsenal. Excusez du peu. «Souvent, les gens disent que l’OL n’a jamais rien gagné au niveau européen. Mais arriver à se qualifier 6 fois de suite pour les huitièmes de finale, 9 fois en Ligue des Champions, est peut-être plus fort et significatif que de gagner ce trophée», se permettait même de lancer Jean-Michel Aulas, toujours aussi mesuré dans ses propos. Nous n’irons pas jusque-là. Car aussi régulier soit-il, rappelons que l’OL bute inlassablement sur les quarts de finale. Jamais le club rhodanien n’est parvenu à s’inviter dans le dernier carré. Ce qui, bien évidemment, noircit le tableau. Et la vision idyllique de JMA ne saurait faire oublier qu’il reste encore une échéance importante. Dans deux semaines, le Bayern Munich se rendra à Lyon, privé de Cris et Juninho suspendus, pour un match, contrairement à ce que l’on pourrait penser, à véritable enjeu. La première place du groupe F sera attribuée, celle qui offre un 8es de finale retour à la maison, face à un deuxième de poule. Celle qui pourrait permettre à Lyon de rêver davantage…

Une chose est bien certaine, Aulas doit se frotter les mains, parce que si Benzema continue sur ce rythme et qu'il ne lui arrive pas de pépin avant la fin de lsaison, on risque de parler du plus gros transfert d'un joueur Français dans trés peu de temps (je vois bien quelques clubs se battre aux environs des 60/80 millions d'Euros pour se l'arracher), et il est quasiment sur et certain qu'il n'évoluera plus dans le championnat Français l'an prochain !

[Arsenalboy]

Liverpool sera revanchard face à l'OM à Anfield (Panoramic)

L’OM peut-il le refaire ?


Il y a un an, Marseille décrochait une victoire historique à Liverpool. Pour encore rêver des 8es de finale, les Phocéens n’ont pas le choix : il leur faudra bisser cet exploit mercredi à Anfield.
par Cédric Callier, le 24-11-2008

Les échos de la rencontre :
Par essence, un miracle n’arrive qu’une fois, tandis qu’un exploit, lui, peut se reproduire. Reste donc à répondre à cette question : la victoire de l’OM l’an passé à Anfield tenait-elle du miracle ou de l’exploit ? Pour les Olympiens, il faut espérer que la seconde partie de l’alternative s’avère la bonne car pour espérer encore en une qualification pour les 8es de finale, la victoire sera impérative mercredi soir. Et dans l’optique d’un repêchage en Coupe UEFA, un match nul serait aussi le bienvenu. Mais pour y parvenir, les Marseillais devront montrer un autre visage que celui aperçu lors de leurs deux dernières sorties à domicile en Ligue 1, soldées d’un tout petit point pris (défaite contre Lorient 2-3, nul face à Lille 2-2). En particulier sur le plan défensif où le bas blesse depuis le début de saison. Ainsi, sans manquer de respect ni à Lorient, ni à Lille, l’attaque de Liverpool est d’un tout autre calibre, surtout avec le retour depuis le week-end dernier de Fernando Torres. Pourrait-on ainsi assister au premier match cette saison de Julien Rodriguez dans l’axe, à la place d’un Ronald Zubar sortant d’un cauchemar éveillé contre les lillois ? L’hypothèse paraît peu probable, mais pas impossible.
Toujours est-il que le match contre le LOSC aura fait une victime de plus : Elamin Erbate. Le Marocain souffre en effet d’une contracture aux ischios-jambiers de la cuisse gauche, mais aussi sans doute de sa prestation catastrophique face au club nordiste. Pour le reste, Eric Gerets pourra compter sur Karim Ziani et Mathieu Valbuena, tous deux dans le groupe même si la prudence voudrait qu’ils débutent sur le banc. En particulier le second nommé, déjà bien heureux d’avoir vu la durée de son indisponibilité réduite mais qui a donc peu de chances de reproduire la frappe lumineuse qui avait offert la victoire à l’OM il y a un an. En tout cas, pour Steve Mandanda et ses compagnons, un seul mot d’ordre : «se faire plaisir. Cela va être un grand match de Ligue des Champions et nous sommes heureux de pouvoir disputer de tels matches.» Du côté de Liverpool, il s’agira de vite oublier les deux points de perdus à domicile en Premier League samedi face à Fulham et de décrocher dès à présent le billet pour les 8es de finale. Afin d’y parvenir, Rafael Benitez espère le retour de Steven Gerrard, absent depuis une semaine en raison d’une blessure aux adducteurs, qui pourrait rejouer son rôle de bourreau préféré de Marseille.
Composition des groupes :
Liverpool :
Non communiquée
Marseille :
Mandanda, Riou - Bonnart, Taiwo, Hilton, Zubar, Rodriguez, Mears - Cana, Cheyrou, Kaboré, Ziani, Zenden, Valbuena, Ben Arfa - Niang, Grandin, Koné, Samassa
Ils ont dit :
Sur le site de l’OM, Eric Gerets a souligné l’importance du premier quart d’heure à Anfield : «Liverpool va sans doute attaquer très fort cette partie pour imposer son rythme et essayer de prendre l’avantage très tôt. Ce sera donc à nous de savoir répondre présent d’entrée afin de ramener au moins un point de là-bas (…) Cela ne s’annonce pas évident avec nos problèmes actuels de blessures ou de joueurs qui reviennent tout juste. Mais comme l’a démontré la seconde période contre Lille, l’envie et la faim de ne pas perdre animent toujours ce groupe et devraient être encore plus fortes à Anfield.»
Pour Alvaro Arbeloa, la réception de Marseille revêt un double intérêt : oublier la frustration découlant du match nul contre Fulham et se qualifier sans plus attendre pour les 8es de finale de cette Ligue des Champions. «Le match contre Fulham était très frustrant, mais c’est toujours comme ça à Anfield. Les équipes viennent pour jouer de manière très regroupée, très compacte et ce n’est pas toujours évident pour nous. Mais contre Marseille, cela devrait être un match plus ouvert car ils ont besoin absolument d’une victoire. Et nous, on sait que si on gagne, on pourra vivre une dernière journée plus tranquille, ce qui ne serait pas une mauvaise chose lors de cette période chargée.»
Historique des confrontations :
Liverpool et l’OM ne se sont affrontés qu’à une seule reprise à Anfield en Ligue des Champions. Et personne sur la Canebière n’a oublié ce match puisqu’il y a un an, la formation phocéenne était devenue la première à s’imposer dans cette enceinte mythique grâce à une frappe venue d’ailleurs de Mathieu Valbuena (0-1).
Leurs cinq derniers matches :
Liverpool - Fulham 0-0 (Premier League, 14e j)
Bolton - Liverpool 0-2 (Premier League, 13e j)
Tottenham - Liverpool 4-2 (Carling Cup)
Liverpool - West Bromwich 3-0 (Premier League, 12e j)
Liverpool - Atlético Madrid 1-1 (LdC, 4e journée)
Marseille - Lille 2-2 (Ligue 1, 15e j)
Marseille - Lorient 2-3 (Ligue 1, 14e j)
Grenoble - Marseille 0-3 (Ligue 1, 13e j)
Marseille - PSV Eindhoven 3-0 (LdC, 4e j)
Marseille - Saint-Etienne 3-1 (Ligue 1, 12e j)
Programme de la 5e journée du Groupe D :
Liverpool-Marseille
Atlético Madrid-PSV Eindhoven

[Arsenalboy]

Qui de Gourcuff ou d'Anelka prendra le dessus ? (Panoramic)

Le Blues bordelais ?


Pour son dernier match à domicile en phase de groupes, Bordeaux reçoit l’ogre Chelsea. A l’arrêt en championnat, les Girondins ont l’occasion de faire un grand pas vers la qualification en cas de succès.
par Aurélien Billot, le 24-11-2008

Les échos de la rencontre :
Aussi incroyable que cela puisse paraître, Bordeaux a la possibilité de s’emparer de la tête du groupe à l’occasion de ce match contre Chelsea. Après deux revers d’entrée, dont le terrible 4-0 infligé au match aller par les Anglais, les Girondins se sont complètement relancés lors de leur double confrontation face à Cluj. Deux victoires aux forceps qui leur permettent de continuer à rêver. Avec six points au compteur, Laurent Blanc et sa bande ne sont qu’à une petite longueur de leur adversaire du jour. Un nouveau succès, conjugué à un petit coup de mou de la Roma en Roumanie, et ce serait donc la première place assurée ! Mais ce Bordeaux-là est-il seulement taillé pour ce genre de grands rendez-vous ? La question mérite d’être posée. Déjà à la peine contre le PSG, l’OM et l’OL, les Girondins ont à nouveau calé ce week-end lors du choc face à Rennes (1-1). Sans imagination, les Marine et Blanc dépendent presque entièrement des prestations de Gourcuff. Samedi, c’est encore de lui que sont venus les rares éclairs de la partie. Un crochet par-ci, un petit pont par-là et un but plein d’opportunisme. Mais l’ancien Milanais ne peut pas tout faire et ses coéquipiers ont, semble-t-il, bien du mal à le comprendre. Du coup, en championnat, Bordeaux marque le pas. Dépassé par Nice, Rennes et Paris, le club au Scapulaire a même rétrogradé au 6e rang national.
Malheureusement, l'éclaircie dans le ciel girondin provenant d'un probable retour de «captain» Ramé n'aura pas lieu. Ecarté des terrains depuis quatre semaines en raison d’une lésion de l'adducteur droit, le gardien du temple a déclaré forfait mardi. Comme Bordeaux, Chelsea n’a pas gagné en Premier League ce week-end (0-0, face à Newcastle). Pour la première fois depuis quatre matches, Anelka n’a pas marqué. Mais pas de panique, puisque les Blues restent leaders grâce à une différence de buts nettement meilleure que celle de Liverpool (+23 contre +13). Pas vraiment souverains en déplacement depuis le début de la compétition avec un nul à Cluj (0-0) et une défaite à Rome (3-1), les hommes de Luiz Felipe Scolari auront à cœur de briller afin d’assurer leur qualification pour les huitièmes. Pour affronter Bordeaux, le technicien brésilien retrouvera Drogba, suspendu en championnat. Il sera en revanche toujours privé de Michael Essien, toujours en rééducation. Alex (élongation), Belletti (cheville) et Carvalho (genou) sont eux très incertains.
La composition des groupes :
Bordeaux :
Olimpa, Valverde - Chalmé, So.Diawara, Jurietti, Placente, Planus, Trémoulinas - A.Diarra, Fernando, Gourcuff, Wendel, Sertic, A.Traoré - Bellion, Cavenaghi, Chamakh, Gouffran, Obertan
Chelsea :
Non communiquée
Ils ont dit…
Interrogé par la presse anglaise, Yoann Gourcuff veut absolument donner une autre image que celle de septembre dernier. «A l’aller, nous étions intimidés, nous les avions trop respectés. Cette fois, nous voulons créer la sensation. Chelsea a une équipe formidable, mais sur un match sec on peut les battre», a déclaré l’international français dans les colonnes du Times.
Quelque peu agacé par la défaite des siens à Rome (3-1) lors de la dernière journée, John Terry a voulu mettre en garde les siens contre tout excès de confiance. «Si on continue à jouer comme ça, on sera très loin d'atteindre la finale, c'est aussi simple que ça. C'est l'objectif le plus important : c'est pour ça qu'on dispute la compétition, pour retourner à Rome en mai. Vous savez, la base pour gagner, dans tous les stades du monde, c'est qu'il faut se battre, montrer plus de détermination que son adversaire. Si le match doit se jouer sur la qualité des joueurs, alors nous gagnons neuf fois sur dix. Mais si on ne monte pas combat, alors nous serons battus d'avance», a notamment lâché le capitaine des Blues sur le site de l’UEFA.
Historique des confrontations :
Le match aller constitue le seul précédent entre les deux équipes au niveau européen. Pour son entrée en lice dans la compétition, Bordeaux avait ce soir-là pris un véritable bouillon à Stamford Bridge (4-0). Lampard, J. Cole, Malouda et Anelka avaient été les bourreaux girondins.
Leurs cinq derniers matches :
Bordeaux - Rennes 1-1 (Ligue 1, 15e j)
Lyon - Bordeaux 2-1 (Ligue 1, 14e j)
Bordeaux - Guingamp 4-2 (CdL, 8es)
Bordeaux - Auxerre 2-0 (Ligue 1, 13e j)
Cluj - Bordeaux 1-2 (LdC, 4e j)
Chelsea - Newcastle 0-0 (Premier League, 14e j)
West Bromwich - Chelsea 0-3 (Premier League, 13e j)
Chelsea - Burnley 1-1, 4 tab à 5 (Carling Cup, 4e tour)
Blackburn - Chelsea 0-2 (Premier League, 12e j)
AS Rome - Chelsea 3-1 (LdC, 4e j)
Programme du Groupe A :
Mercredi à 20h 45 :
Bordeaux - Chelsea
Cluj - AS Roma

[Arsenalboy]

L’OM marche seul



Ronald Zubar, auteur d'un gros match, n'a pas suffi (Reuters)

Alors que Lyon verra le printemps et que Bordeaux peut encore rêver, l’aventure de Marseille en Ligue des Champions est déjà terminée. Battu par Liverpool à Anfield Road (1-0), l’OM doit désormais chercher son ticket pour la Coupe UEFA. par Vincent Duchesne, le 27-11-2008

Avec Marseille, c’est toujours la même rengaine. La partition en Ligue des Champions est jouée de manière élégante et subtile mais quelques fausses notes rendent le tout inaudible au final. Une nouvelle fois, l’OM n’a pas démérité mercredi soir à Liverpool. Une nouvelle fois Marseille est tombé (1-0). Pour la quatrième fois en cinq rencontres ! «C’est rageant ! On va encore se dire qu’on a fait un bon match dans l’ensemble, avec des occasions, mais à l’arrivée on perd. On a essayé de pousser et d’aller chercher l’égalisation et la victoire. Je pense qu’on ne pourra pas nous reprocher le contraire. C’est vraiment rageant !», insistait Ronald Zubar, auteur d’une grosse performance en charnière centrale.
Une erreur d’inattention
Mais le plus frustrant est bien que le club phocéen se révèle incapable de tirer les enseignements de ses défaites passées. Il manque toujours un petit quelque chose. Un détail qui au final se paie cash. A l’aller, au Vélodrome, six minutes de flottement avait permis aux Reds de tromper la vigilance de Steve Mandanda par deux fois (1-2). A Madrid, face à l’Atlético, les Rojiblancos s’étaient vus offert deux jolis cadeaux avec deux erreurs défensives impardonnables à ce stade de la compétition. Mercredi, le secteur défensif si décrié ces dernières semaines a tenu le choc. Mais il a suffi d’une seule erreur d’inattention, d’un manque de vigilance de Bakary Koné sur un corner mal renvoyé pour permettre à Steven Gerrard d’inscrire le seul but de la rencontre. Ce n’est plus rageant ou frustrant, cela devient agaçant ! D’autant qu’en deuxième période, en se montrant beaucoup moins respectueux vis-à-vis de l’adversaire, en allant au charbon avec une attitude conquérante, l’OM a bousculé cette équipe de Liverpool.
La Coupe UEFA comme lot de consolation ?
Les armes, Marseille les avait. «L’état d’esprit était «top». On dit souvent que mes joueurs ne savent pas jouer en bloc mais cette fois, ils l’ont fait et ils ont eu les c… de jouer un beau football, vraiment beau à voir (…) On a vu de beaux moments et même plus pour nous que pour Liverpool», faisait remarquer Eric Gerets. Malheureusement, le club phocéen s’est tiré une balle dans le pied tout seul. «Globalement, à part le match au PSV, qui était un scandale, lors de tous les autres matches de Champions League, on méritait à chaque fois au moins un point, ajoutait le coach olympien. Les joueurs auraient mérité un peu plus que les trois points actuels. C’est mal servi». Pour la deuxième année consécutive, Marseille quitte donc la Ligue des Champions dès la phase de groupes. Sans avoir à rougir.
Reste désormais à limiter la casse. L’aventure européenne n’est pas totalement terminée. Elle peut encore se poursuivre via la Coupe UEFA. Un moindre mal. «Une Coupe d’Europe, c’est toujours une belle coupe. J’espère que l’on va se qualifier, ce serait un beau cadeau pour les joueurs. Ce qu’ils ont fait cette année en Europe était vraiment valable (…) La campagne était convenable», soulignait Gerets. Tout se jouera dans deux semaines au Vélodrome lors d’un sulfureux Marseille-Atlético Madrid que l’on espère moins électrique qu’à Vicente Calderon. Dans le même temps, le PSV Eindhoven, l’adversaire des Marseillais pour le dernier ticket européen, accueillera Liverpool. «Contre Madrid, on va essayer de jouer avec la conviction de continuer l’aventure européenne mais on pense d’abord au championnat, révélait Pape Diouf. On aura le temps de se pencher de nouveau sur l’Europe en temps voulu». La page Ligue des Champions, elle, est bel et bien tournée…

Et bien voila, même si mon chauvinisme pour les clubs Français nous représentant en Coupe d'Europe en prend un coup, je ne peut que me réjouir de la défaire Marseillaise, je me souvient des propos de certains il y a quelques mois en arrière qui trouvait que pour le football Français il était bien plus intéressant d'être représenté par Marseille que Nancy en Champion League, et qu'une équipe comme la nôtre n'y avait pas sa place...

Ravi de constater que Marseille non plus...

Maintenant je souhaite de tout coeur que nous réussissions notre aventure en UEFA et que Marseille n'arrive même pas à décrocher la troisième place qualificative pour la suite de la compétition, non mais dès fois, nous allons leurs prouver à tous que nous avons du sang de Lorrains dans les veines et que nous méritons largement plus que toutes leurs considérations à deux balles !

[Arsenalboy]

Rome, les voilà !



Yoann Gourcuff et Bordeaux ont tenu tête au grand Chelsea (Panoramic)

En arrachant le nul à domicile face à Chelsea (1-1), Bordeaux a conservé toutes ses chances de qualification pour les huitièmes. Il faudra désormais gagner à Rome pour continuer l'aventure. par Aurélien Billot, le 26-11-2008

Compte rendu du match
Bordeaux a-t-il l'étoffe d'un grand ? Après avoir une nouvelle fois calé contre une grosse cylindrée en L1 (1-1, contre Rennes), les Girondins recevaient Chelsea en Ligue des Champions. A n’en pas douter l’un des matches de l’année pour le football français. Complètement relancés par leur double confrontation face à Cluj (1-0, 2-1), les hommes de Laurent Blanc avaient l’occasion de s'entrouvrir les portes des huitièmes en cas de victoire face au finaliste de la dernière édition. Histoire de faire oublier la gifle reçue au match aller, à Stamford Bridge (4-0)…
La roulette de Gourcuff
Disposés dans un 4-2-3-1 identique à celui qui s’était imposé à Cluj lors de la dernière journée (2-1),les Bordelais effectuaient en tout cas un début match appliqué. Et si la possession de balle était nettement londonienne, c’est Fernando qui déclenchait les hostilités d’un tir rasant des 25 mètres (6e). Un peu tout le résumé d’une première période entièrement dominée par les Girondins au niveau des occasions, les Anglais s’occupant eux de faire tourner le ballon. En vain la plupart du temps. En 45 minutes, Anelka et consorts n’ont en effet pas tiré une seule fois au but ! Bien bloqués tactiquement, les Blues laissaient même apparaître quelques signes de nervosité comme en témoignent les trois cartons jaunes récoltés en moins de dix minutes par Terry (22e), Lampard (27e) et Ashley Cole (29e). Il faut dire que les Britanniques n’avaient que peu apprécié d’être ridiculisés par Gourcuff. Une nouvelle fois impressionnant, le meneur girondin régalait l’assistance à la 27e minute de jeu en réalisant un enchaînement roulette-frappe du gauche qui obligeait Cech à détourner en corner (27e). Sans élan, Gouffran s’essayait à son tour dans le temps additionnel. Sans réussite.
Diarra maintient l’espoir
Plutôt séduisants en première période, les Girondins allaient-ils regretter de ne pas avoir concrétisé ? Quoi qu’il en soit, le deuxième acte débutait comme avait fini le premier. Chelsea avait le pied sur le ballon et Bordeaux profitait à merveille des contres, à l’image de Gouffran, qui mystifiait Terry le long de la touche avant d’envoyer un centre en retrait dégagé in-extremis par l’arrière-garde londonienne (52e). Une nouvelle fois, le coup était passé près. Oui mais voilà, le réalisme était anglais ce mercredi soir. Et sur le tout premier tir de la partie des Blues, Anelka venait crucifier Valverde en toute décontraction (0-1, 60e). Une véritable libération pour les Britanniques qui manquaient même de breaker par deux fois sur deux coups de canon signés Lampard (64e et 78e). Et c’est finalement au moment où l’on pensait que Bordeaux avait abdiqué que Diarra venait égaliser en reprenant un corner de Gourcuff au premier poteau (1-1, 83e). L’expulsion de Lampard pour un second carton jaune ne changeait rien (86e) et c’est donc à Rome, dans quinze jours, que tout se jouera. Il faudra impérativement s’y imposer pour se qualifier…
Le jeu et les joueurs
Bordeaux a tout connu dans ce match. Pas loin d’un exploit pendant une heure, les Girondins n’ont jamais semblé en mesure de se révolter après l’ouverture du score. Et c’est finalement au moment où l’on s’y attendait le moins que «captain» Diarra est sorti de sa boîte pour placer une tête rageuse et permettre aux siens d’espérer. Etrangement seul au premier poteau, l’ancien Lyonnais a profité de l’offrande délivrée par Gourcuff pour inscrire son 2e but en Ligue des Champions. Une nouvelle fois au four et au moulin, le fils de Christian a sorti un gros match. Des enchaînements techniques de grande classe qui ont fait danser les défenseurs de Chelsea, quelques passes distillées au petit oignon, un régal pour les yeux ! Dommage qu’il se soit un peu éteint en fin de match. Et que dire de Chamakh. Enorme de combativité, le Marocain fait totalement oublié Cavenaghi sur la scène européenne.
Pas en réussite sur coup de pied arrêté et toujours aux abonnés absents dans le jeu, Wendel a en revanche passé une sale soirée. Côté Chelsea, on a fait rimer Anglais avec sobriété. Loin d’être impressionnants dans le jeu, les Blues sont tout même parvenus à marquer sur l’une de leurs rares occasions. Comme presque tous le temps ces derniers temps, c’est Anelka qui s’est chargé de terminer le travail. Son 15e but cette saison toutes compétitions confondues ! L’autre Frenchie, Malouda a été transparent. Pour son 250e match en tant que capitaine de Chelsea, Terry s’est lui montré sous son mauvais jour, tant au niveau du jeu que dans l’esprit.
L’autre match du groupe
La Roma s’est vengée. Battu par Cluj lors de la première journée, les coéquipiers de Philippe Mexès sont allés rendre la pareille en Roumanie. Brighi par deux fois (9e et 65e) et Totti d’un coup-franc de 25 mètres ont été les bourreaux romains de la soirée. Koné a eu beau réduire l’écart en profitant d’une erreur de Doni, rien n’y a fait pour la bande à Trompetta, qui subit ainsi son troisième revers de suite en Ligue des Champions. Une défaite qui élimine définitivement Cluj de toutes compétitions européennes. Le match face aux Blues dans quinze jours comptera donc pour du beurre. Celui des Romains face à Bordeaux vaudra par contre son pesant d’or…
Résultats de la 5e journée
Groupe A
Bordeaux - Chelsea 1-1
Cluj - AS Rome 1-3

Par avance je m'excuse auprès des Bordelais et en particulier de Bravestar pour l'analyse qui va suivre...

Hier soir moi qui n'ai pas l'habitude de suivre d'autres matchs que ceux de Nancy et de Lyon, j'étais super motivé à l'idée de regarder ce Bordeaux/Chelsea, il faut dire que Bordeaux à de bonnes qualités cette année et que Chelsea (même si je ne les aiment pas) dispose quand même d'un sacré potentiel sur le terrain, et bien que nenni j'ai regardé un match qui m'a gonflé pendant 90 minutes...

Chelsea à part jouer de la savate, n'a absolument rien montré de ses qualités, quasiment pas d'attaques construites, une circulation de balle tout ce qu'il y a de plus classique, bref un jeu pas flamboyant du tout...

Bordeaux alors là c'est encore pire, j'ai eu l'impression que la principale motivation des joueurs était de ne pas en prendre une pleine valise comme à l'aller, aucun entrain sur le terrain et ce fut encore pire après avoir encaissé le but, et lorsqu'ils marquent enfin il restait pas loin de 10 minutes à jouer et je pensais que nous allions voir une déferlante bleu marine sur le but des Londoniens, et bien encore une fois c'était bien mal connaitre les attentions Bordelaises, rien de rien proche du néant, comme si ils avaient déja abdiqués depuis le début de la rencontre et que finalement ce nul était presque inespéré...

La seule satisfaction de ce match, c'est d'avoir vu un Gourcuff faire toute l'étendue de son talent en une mi-temps, la seconde était nettement moins meilleure, mais si ce petit jeune n'a pas le melon qui gonfle trop vite, on peut d'ores et déja penser que la relève de Zidane est arrivée...

Il va quand même falloir un grand Bordeaux pour se sortir de ce guèpier, alors qu'hier c'était plus que jouable...

Encore une fois désolé pour ma vision cruelle des choses, mais je ne pense pas être le seul à avoir ressenti ce match comme cela !

[Steph]

Bravo aux Bordelais pour leur match d'hier soir. Dommage qu'il y est eu cette erreur défensive

[Bravestar]

Un match nul ou une victoire n'aurait rien strictement rien changé...
Chelsea va gagner son dernier match contre Clu à domicile, et la victoire de Rome fait que de toute façon, il aurait fallu gagner là-bas !

Moi, ce que je retiens du match, c'est l'égalisation qui fait du bien (et nous évite d'avoir à gagner 3-0 à Rome) et que Chelsea a joué très bas ! A partir de là, difficile de contourner une défense qui fait partie des meilleures d'Angleterre, et aussi dangereuse sur contre !
Si on avait pris un but d'entrée en se jetant vers l'avant, on aurait surement pris une valise comme à l'allé : au lieu de ça, on est resté calme en se contentant de quelques espaces laissés en première mi-temps qui nous faisaient mener au points assez largement (10 tirs à 0 à la mi-temps). Chelsea s'est montré plutôt nerveux et aurait pu nous blesser quelques joueurs...

A la fin, on garde tous nos espoirs (même si ce sera vraiment dur) et on fini le match sans blessé : c'est bien là le principal !

[Mali]

aux girondins

[Bravestar]

Et bien cette fois, c'est fini...

C'est assez frustrant des matchs comme ça, où on ne trouve aucune solution face à une défense ultra regroupée, et qui sur une erreur d'inattention font la différence, alors qu'ils n'avaient pas été dangereux jusqu'à ce moment là...

Si on rajoute à ça un arbitre qui tombe dans le panneau du jeu à l'italienne, avec des joueurs qui ne tiennent pas debout au moindre coup de vent, ça nous donne des possibilités de contres en moins !

Bref, on continue en UEFA sans être vraiment ridicule (à part à Chelsea) et en terminant à notre troisième place logique (par rapport au tirage de base) et qui était loin d'être acquise après deux défaites... Mais avec une attaque plus réaliste, on aurait peut-être pu... (c'est ce qu'on se dit à chaque fois finalement !)

[Mali]

Pourtant vous ne manques pas d'attaquants VOUS.

[nono54]

Et bien cette fois, c'est fini...

C'est assez frustrant des matchs comme ça, où on ne trouve aucune solution face à une défense ultra regroupée, et qui sur une erreur d'inattention font la différence, alors qu'ils n'avaient pas été dangereux jusqu'à ce moment là...

Si on rajoute à ça un arbitre qui tombe dans le panneau du jeu à l'italienne, avec des joueurs qui ne tiennent pas debout au moindre coup de vent, ça nous donne des possibilités de contres en moins !

Bref, on continue en UEFA sans être vraiment ridicule (à part à Chelsea) et en terminant à notre troisième place logique (par rapport au tirage de base) et qui était loin d'être acquise après deux défaites... Mais avec une attaque plus réaliste, on aurait peut-être pu... (c'est ce qu'on se dit à chaque fois finalement !)

c'est vrai, que le problème des girondins, c'est qu'il n'arrive pas à marquer contre des équipes très regroupées (Nancy) ou hier soir la Roma, qui est un spécialiste dans ce domaine puisqu'ils ont réussi à battre Chelsea.

Mais, ce que je trouve dommage c'est de voir autant de bon joueur français comme Menez jouer à l'étranger, sur qu'après notre championnat soit pauvre en but car tous nos attaquants ce sont exilées.

et bon chance en Uefa

[Bravestar]

On manque pas d'attaquants, c'est sûr, mais dans les gros matchs, on ne joue toujours qu'avec un seul...
Donc forcément, quand l'équipe est regroupée en plus, comme hier soir, ça fait qu'on le trouve encore moins facilement notre attaquant : la solution, c'est des frappes lointaines, mais quand elles ne sont pas cadrées, ça sert pas à grand-chose...

Vivement la trève parce que là, on sent que certains joueurs commencent ) trainer la patte sur le terrain, et ce repos ne sera pas un mal !

Pour l'UEFA, on se donne rendez-vous pour la finale ! C'est où cette année au fait ?

[nono54]

On manque pas d'attaquants, c'est sûr, mais dans les gros matchs, on ne joue toujours qu'avec un seul...
Donc forcément, quand l'équipe est regroupée en plus, comme hier soir, ça fait qu'on le trouve encore moins facilement notre attaquant : la solution, c'est des frappes lointaines, mais quand elles ne sont pas cadrées, ça sert pas à grand-chose...

Vivement la trève parce que là, on sent que certains joueurs commencent ) trainer la patte sur le terrain, et ce repos ne sera pas un mal !

Pour l'UEFA, on se donne rendez-vous pour la finale ! C'est où cette année au fait ?

ce serait pas mal, une finale Nancy/Bordeaux effectivement

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